Infos du Maroc

Feu S.M. le Roi Hassan II a beaucoup aidé au financement de l'ANC (African National Congress), le mouvement qui luttait contre le régime de l'apartheid, alors que son président, Nelson Mandela, purgeait sa condamnation à perpétuité dans les geôles sud-africaines, a confié le Président français, Jacques Chirac, dans un livre-entretien avec Pierre Péan, intitulé L'inconnu de l'Elysée. J'ai été militant de l'ANC de Mandela depuis la fin des années 60, le début des années 70. J'ai été approché par Hassan II, le Roi du Maroc, pour aider au financement de l'ANC, a-t-il poursuivi, soulignant que le Souverain, Paix à son âme de bon musulman, a beaucoup aidé au financement de l'ANC. Le Souverain défunt a soutenu dès le départ l'ANC et il n'a pas été payé en retour, a dit M. Chirac, précisant que feu S.M. le Roi versait de l'argent à l'ANC sur ses propres comptes. Il pensait que plus on donnait, mieux cela valait, a-t-il ajouté. Selon le Président Jacques Chirac, feu S.M. le Roi Hassan II avait constitué un réseau de gens qui aidaient au financement de l'ANC. Il m'avait choisi pour cela, a-t-il ajouté.

Le laboratoire de la police scientifique ouvre enfin ses portes. Créé en 1995, ce laboratoire fait partie de la direction générale de la Sûreté nationale. «La direction de la police scientifique et technique est composée de plusieurs départements. Le laboratoire se charge lui de tout ce qui est analyse biologique, toxicologie et stupéfiants et enfin les incendies et explosifs», explique Abed Hamid, chef du laboratoire et commissaire divisionnaire.

La chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca a condamné Hamid, Abdellah et Samir à cinq ans de réclusion criminelle. Poursuivis pour constitution d’une association de malfaiteurs et vols qualifiés, les mis en cause ont interjeté appel. Nous sommes à la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Trois jeunes garçons se tiennent au box des accusés. Hamid, Abdellah et Samir, âgés respectivement de vingt-trois, vingt-sept et trente et un ans, sont poursuivis pour constitution d’une association de malfaiteurs et vols qualifiés. Rien ne les prédestinait à cela.

Des prisonniers salafistes ont entamé des grèves de la faim pour amener le ministère de la Justice à leur permettre de se marier. Incarcérés à Casablanca, ils affirment craindre pour leur stabilité si la situation perdure. Pour la première fois dans les annales des prisons marocaines, des détenus salafistes, condamnés dans le cadre des procès post-16 mai 2003, ont recouru à la grève de la faim pour «défendre leur droit au mariage». Issam Chouider, Kamal Chetbi, Abdelhakim El Ghali, Mohamed Aâtour et Rédouane Alami ont observé, pour la deuxième fois, une grève de la faim les 12 et 13 février en protestation, affirment-ils dans un communiqué, contre le Parquet de Casablanca. Ce dernier, à les en croire, tarde à répondre à leurs demandes de permission de mariage en prison présentées aux autorités judiciaires depuis plus de huit mois. Soutenus par leurs co-prisonniers parmi les salafistes, les cinq détenus affirment qu'ils pourraient recourir à d'autres formes, plus radicales, de protestation. L'une des issues envisagées est une grève illimitée de la faim.

Des membres de la Commission de l'Intérieur, de la Décentralisation et des Infrastructures à la Chambre des Représentants ont souligné, mardi à Rabat, que le projet de loi portant Code de la circulation routière est un pas qualitatif en matière de lutte contre les accidents de la circulation, exprimant, par la même, leur inquiétude vis-à-vis des pratiques et comportements qui pourraient entraver l'application de ce Code. Lors d'une réunion dédiée à l'examen de ce projet, tenue en présence du ministre de l'Equipement et du Transport, M. Karim Ghellab, les membres de la commission ont mis en relief l'importance des dispositions de ce code qui permettront de réduire les dégâts humains et matériels causés par les accidents de la circulation.

L'Institut National de Géophysique (ING) a affirmé que la secousse tellurique, qui a été ressentie, lundi matin, sur le littoral marocain, a été d'une faible magnitude, ce qui exclut l'hypothèse d'un tsunami. L'Institut National de Géophysique (ING) a affirmé que la secousse tellurique, qui a été ressentie, lundi matin, sur le littoral marocain, a été d'une faible magnitude, ce qui exclut l'hypothèse d'un tsunami.

La radio thématique à vocation sociétale et économique Aswat démarrera ses programmes aujourd'hui, mardi 13 février 2007, à partir de 7h00 du matin. La radio thématique à vocation sociétale et économique Aswat démarrera ses programmes aujourd'hui, mardi 13 février 2007, à partir de 7h00 du matin.

Une secousse sismique de magnitude 6,3 s'est produite hier dans toutes les villes du Royaume. Aucune victime n'est à déplorer. Toutefois, la secousse a provoqué un grand mouvement de panique. Une secousse sismique s'est produite hier, lundi12 février, à 10 h 35 dans toutes les régions du Maroc. Selon le Centre national pour la recherche scientifique et technique (CNRST), elle a été ressentie au niveau de la côte marocaine et même à l'intérieur du pays.

• Maroc Hebdo International: Comment expliquez-vous l'intensité du tremblement de terre qui a frappé Al Hoceima et l'ampleur des dégâts qu’il a provoqués? - Nacer Jabour: La forte intensité du tremblement de terre est due, d'une part, à sa forte magnitude, 6,5 sur l’échelle ouverte de Richter. D'autre part, à la position du foyer par rapport à la ville d'Al-Hoceima, qui était très proche. En outre, ce séisme est du type le plus le plus dangereux. C’est un séisme superficiel : L’énergie libérée se situe entre 2 km et 8 km de la surface de la terre. Ce type de tremblement de terre cause le plus des dégâts matériels et humains. Un autre facteur très important ayant contribué à l’aggravation de la situation, c’est la vulnérabilité des constructions.

Le séisme de magnitude 5,8 sur l'échelle de Richter n'a toutefois pas fait de victimes ni entraîné de dégâts d'importance. A Séville, plusieurs milliers de personnes ont évacué leurs lieux de travail après avoir ressenti le tremblement de terre.

L'ambassadeur du Maroc à Paris plaide pour une identité complémentaire Le siège de l'Unesco vient d'abriter la 4e édition du Forum de Paris auquel a participé une délégation marocaine composée de André Azoulay, conseiller de S.M. le Roi, Hassan Abouyoub, ambassadeur itinérant de S.M. le Roi, et Fathallah Sijilmassi, ambassadeur du Maroc en France. Placé sous le haut patronage du président Jacques Chirac, ce forum a été organisé également sous le signe de «l'Union, 50 ans après, quelle Europe pour quels Européens».

Aucun dégât humain ni matériel à déplorer Lundi 12 février 2007. Il est près de 10h45. Une petite frayeur s'est emparée des Casablancais suite à une secousse tellurique enregistrée dans la ville. Plus de peur que de mal. Aucun dégât humain ni matériel n'est à déplorer. Bien qu'elle soit de moindre force, la secousse a, néanmoins, provoqué une véritable panique.

L'Union de Touarga (2è division) a créé la plus éclatante surprise des 16ès de finale de la coupe du Trône de football (2006-2007), en éliminant dimanche le CODM (1ère div) à Meknès par 3 tirs au but à 2 (1-1 après prolongations). L'Union de Touarga (2è division) a créé la plus éclatante surprise des 16ès de finale de la coupe du Trône de football (2006-2007), en éliminant dimanche le CODM (1ère div) à Meknès par 3 tirs au but à 2 (1-1 après prolongations). A part ce résultat, toutes les équipes du GNFE-1 qui ont affronté des formations des étages inférieurs (GNFE-2 et Amateurs) ont poinçonné leur ticket pour les 8èmes de finale. Ainsi, l'Olympique de Khouribga, actuel leader du championnat national, a battu sans encombre l'Union de Mohammedia (2-0), le Moghreb de Tétouan a écrasé Amal Azrou (4-0), l'équipe des FAR a fait l'essentiel en battant sur la marge minimum (0-1) l'Union de Sidi Kacem, alors que le Moghreb Fès a eu quelques frayeurs avant de s'imposer (1-2) sur le terrain du FUS de Rabat.

La question du visa que la Libye compte instaurer pour les ressortissants des pays maghrébins sera discutée au sein du Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'UMA, a confié samedi à la MAP le chef de la délégation libyenne à la réunion du Comité de suivi de cet ensemble, M. Abdelati Ibrahim Laâbidi. L'examen de cette question permettra de mieux éclaircir la situation, a ajouté M. Laâbidi, qui assure la présidence de la 43-ème session ordinaire du Comité de suivi de l'Union du Maghreb Arabe, tenue vendredi et samedi à Rabat. Tout ce que nous avons entrepris ne dépasse pas le cadre de mesures d'usage en la matière, dans le but de faciliter le déplacement et le séjour des personnes visitant la Libye pour une raison ou une autre, a-t-il poursuivi. Et de souligner: De cette manière, quand un ressortissant maghrébin se rend en Libye, les siens savent bien qu'il s'y trouve soit pour le tourisme, soit pour la recherche d'un emploi ou pour le travail.

Une secousse tellurique de faible intensité a été enregistrée, lundi à 10H35mn27sec, sur la côte marocaine et même à l'intérieur du pays. Une secousse tellurique de faible intensité a été enregistrée, lundi à 10H35mn27sec, sur la côte marocaine et même à l'intérieur du pays. L'épicentre de cette secousse, d'une magnitude 6,3 sur l'échelle de Richter, se situe à 400 Km au large des côtes ouest marocaines, indique le Centre national pour la recherche scientifique et technique (CNRST).

Le tueur en série qui a étranglé trois filles après avoir couché avec elles a été condamné dernièrement à la perpétuité par la chambre criminelle près la Cour d’appel d’Agadir. «Je réclame mon exécution». Abdelhak Toumi veut en finir une bonne fois pour toutes. Aux juges de la chambre criminelle près la Cour d’appel d’Agadir, il a demandé de ne pas faire preuve de clémence à son endroit et de le condamner à la peine capitale. Pourquoi ? Parce que le souvenir des trois filles qu’il a assassinées le hante. A preuve, il a facilement avoué ses crimes.

Un séisme de magnitude 6,3 sur l’échelle ouverte de Richter s’est produit lundi 12 février à 10h30 (GMT et locale) dans la quasi-totalité du territoire national marocain, notamment dans les grandes villes du Royaume (Casablanca, Fès, Méknès, Tanger).

Les membres du conseil d'administration de la région de Taza-Al Hoceïma-Taounate affichent leurs craintes de la course aux statistiques évolutives La qualité de l'enseignement a été au centre du débat lors de la cinquième édition du conseil d'administration de l'Académie régionale de Taza-Al Hoceïma-Taounate. «Par Dieu, ne faites pas passer nos enfants d'un niveau à un autre juste pour réaliser des chiffres à la hausse», avait imploré un parent d'élève lors de cet événement organisé mardi 6 février dans la ville d'Al-Hoceïma, en réaction à tous les indicateurs à la hausse communiqués par le directeur de l'Académie dans son rapport annuel.

Un espace ouvert à toutes les connaissances et un nouveau regard sur les nouvelles créations Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid a présidé, hier à l'Office des foires et expositions de Casablanca, l'ouverture de la 13e édition du Salon international de l'édition et du livre (SIEL), placée cette année sous le signe 'La création marocaine : nouvelles tendances'. Mohamed Achaâri, ministre de la Culture, a présenté des explications sur le Salon, placé sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, et sur son organisation à Son Altesse Royale qui a effectué une tournée dans différents stands de cette exposition devenue, au fil des éditions, un rendez-vous annuel pour approfondir le dialogue entre les écrivains et les professionnels du livre et de l'édition, ainsi qu'avec les lecteurs.

Promettant l’Eldorado aux demandeurs d’emploi, Farid les délestait de quelques milliers de dirhams avant de disparaître sans laisser de traces. Il a été arrêté et condamné par le tribunal de première instance de Casablanca à deux ans de prison ferme. Le port altier, bien habillé et bien rasé, Farid s’attable dans un café de Hay Hassani, à Casablanca. Le ciel est si clément en cet après-midi de janvier 2007 qu’il a préféré la fraîcheur vivifiante de la terrasse à l’odeur tenace de tabac qui règne à l’intérieur de l’estaminet. Il sirote son café noir, lorsque son regard se fixe sur un individu dont le visage lui semble être familier. Le connaît-il ? Peut-être.