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Mariage forcé

Condamnation unanime de la fatwa autorisant le mariage des filles à partir de 9

Condamnation unanime de la fatwa autorisant le mariage des filles à partir de 9 ans La fatwa autorisant le mariage des filles à partir de 9 ans suscite des réactions de réprobation, d’autant plus que cette fatwa édictée par le dénommé Al-Maghraoui véhicule une incitation déguisée à la pédophilie. Un sentiment de colère, voire d’indignation, prend à la gorge de plus en plus de Marocains, après l’édiction d’une fatwa autorisant le mariage de la fille âgée de 9 ans. L’auteur de cet avis, un fervent disciple du courant wahhabite au Maroc, estime dans cette fatwa qu’ «une fille de neuf ans a les mêmes capacités sexuelles que les filles âgées de 20 ans et plus». Cheïkh Mohamed Ibn Abderrahmane Al-Maghraoui, puisque c’est de lui qu’il s’agit, semblait avoir besoin d’une icône forte pour se donner bonne conscience et donner à sa fatwa un vernis de légitimité, il s’est alors permis de citer l’exemple du prophète Mohammed affirmant que ce dernier «s’est marié avec Aïcha à l’âge de neuf ans».

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Elle a deux maris et un amant

Sept personnes, dont une femme accusée d’avoir épousé deux hommes en même temps et son amant, ont été condamnées à des peines allant de 2 mois à quatre ans de prison ferme. Naïma est-elle vraiment mariée à deux hommes en même temps ? C’est la question que l’on se posait, ce jour de septembre, à la salle d’audience à la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Mais, la surprise est encore plus grande quand on apprend que la mise en cause qui se tenait devant le président de la Cour avait, en plus de deux maris, un amant. «Tu es accusée d’avoir falsifié un document dans le but de te marier avec un autre homme alors que tu es encore mariée avec le plaignant», a dit le président de la Cour en s’adressant à Naïma.

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Il tue sa maîtresse pour se marier

Parce qu’elle a menacé son amant de dévoiler leur relation à sa fiancée, il l’a assassinée et brûlé ses doigts pour qu’elle ne soit pas identifiée. Pour la police, le jour de la reconstitution du crime n’est toujours pas comme les autres jours. Il est particulier. D’une part, parce qu’il marque la fin d’une série d’investigations et d’interrogatoires à la fois pénibles et constructifs pour le dossier. Et d’autre part, parce que les enquêteurs doivent se préparer pour ne pas être confrontés à l’imprévisible.

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SM le Roi met la Justice et l’Education au cœur des réformes vitales

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, lors de son discours du Trône, a fait de la justice l’un des chantiers prioritaires des réformes. Le Souverain a tracé la voie pour une justice indépendante et moderne. Lors de son discours du Trône, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a inclus la réforme de la justice parmi les chantiers prioritaires des réformes qui seront entreprises dans la période à venir. Pour le Souverain, la justice constitue «la clé de voûte du pouvoir, et le socle sur lequel reposent l'Etat de droit, la primauté de la loi, le principe d'égalité devant elle, et la bonne gouvernance». Sans oublier que la justice «est également un levier fondamental pour le développement et la promotion de l'investissement», selon les propos de Sa Majesté le Roi qui a appelé à une mobilisation générale pour une réforme de la justice et pour en consolider l'indépendance.

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BMCE Bank acquiert 35% de Bank of Africa

Partenariat continental et une volonté d'accompagner les projets de développement C'est une cérémonie haute en couleurs et en symboles, elle couronne de longs mois de pourparlers et de discussions entre deux grands groupes africains et dont la dimension internationale est aujourd'hui affichée : BMCE Bank et Bank of Africa.

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Statut de la femme : la révolution tranquille

Le 8 mars est l’occasion de faire le point sur les acquis et les progress qui restent a faire pour l’amélioration de la situation de la femme. La femme marocaine a acquis, en quelques années, plus de droits qu’elle n’en a eus des siècles durant. Elle est placée, depuis l’avènement de SM le Roi Mohammed VI, au cœur même du nouveau projet de société. Un acte audacieux marque le début de ce que l’on peut appeler, à juste titre, une révolution. Premier acte de cette révolution, le mariage de SM le Roi avec SAR la Princesse Lalla Salma, une «fille du peuple», célébré le 12 avril 2002, en public et dans la pure tradition populaire.

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Un enfant de trois ans violé et assassiné

Hamza, âgé de trois ans et huit mois, fils unique d’un couple divorcé, a été kidnappé, violé et assassiné vendredi dernier à Marrakech. L’auteur de ce crime abominable court toujours. Nous sommes vendredi 3 novembre, il est dix-sept heures. Son cartable à la main, le petit Hamza quitte son école, un établissement privé du quartier Sidi Youssef Ben Ali, à Marrakech. Accompagné d’un membre de sa famille, il se dirige vers le domicile de ses grands-parents. Ces derniers l’accueillent comme d’habitude, très chaleureusement. Ses oncles et tantes maternels le comblent également de baisers, l’enfant est de toute évidence le bien-aimé de la maisonnée. Puis Hamza se précipite vers sa mère, Fatiha, quelque peu souffrante des suites d’un accident de la circulation. Rassasié de baisers maternels, il court enfin vers la cuisine où sa tante s’affaire déjà à lui préparer quelque chose à manger.

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Le tatouage au henné peut être cancérigène

Le tatouage au henné fut pratiqué par les Égyptiens dès 2000 av. J.-C. On pensait que les motifs tatoués offraient une protection contre la malchance ou la maladie. Ils servaient aussi à identifier le statut, le rang ou l'appartenance à un groupe. Au Maroc, le produit est utilisé depuis des centaines d'années, le henné est une véritable tradition : les femmes en mettent pour toutes les grandes occasions (mariages, baptêmes…). Sans oublier que c'est aussi un des éléments dont use la femme pour la séduction.

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Tourisme sexuel : les ONG se mobilisent

Marrakech, Agadir, Essaouira, Tanger… autant de villes qui ont vu, ces dernières années, se développer un nouveau tourisme, le tourisme sexuel. Si pendant longtemps, ce phénomène a été tu, caché à tel point que l'on pensait que cela ne touchait que les pays asiatiques, que c'était un mythe confiné à quelques villes touristiques lointaines, aujourd'hui la réalité est tout autre.

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Le Parlement a clos sa session de printemps sur le bilan social

Les députés et les conseillers sont en vacances après avoir mis les bouchées doubles pour adopter plusieurs projets de loi. Certains d'entre eux ont été adoptés en l'absence de la majorité des parlementaires. Ces derniers, qui doivent donner l'exemple en matière d'éthique, d'honnêteté et de comportement responsable, seraient un cas d'école en matière d'absentéisme.

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Comment j’ai tué ma femme…

prison centrale de kénitra C’est un crime passionnel par excellence. Un homme tue pour l’amour d’une femme. La passion conjuguée à la jalousie, un cocktail dangereux qui fait déraper son homme et le pousse aux confins de l’horreur. Aziz B. passe à l’acte après avoir préparé son affaire durant des mois. De son propre aveu, c’est « une histoire qui devait coûte que coûte avoir lieu ». Il avait décidé de tuer sa femme qui le trompait avec son ami, son «meilleur ami». Après le meurtre, il dissimule les preuves, transporte le cadavre de sa femme morte loin de la ville où ils habitaient et déclare que sa femme l’a quitté. C’est bien plus tard, qu’il passe aux aveux quand son ami se met à table et raconte l’idylle avec la femme de son «meilleur ami». Les soupçons seront étayés par des déclarations fulgurantes. Un homme est condamné à mort et dit ne rien regretter parce qu’il était conscient de tout ce qu’il devait faire. Il revient aujourd’hui sur cette histoire avec beaucoup de calme, un zest d’amertume et une rage ravalée qui, de temps à autre, trahit son homme. Voici son histoire.

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Elle tue un enfant par dépit amoureux

Aziza, âgée de 46 ans et divorcée, a tué par étouffement un jeune garçon âgé de 7 ans, à Sidi Kacem. Celle qui a agi par vengeance espérait reconquérir le cœur du père, son premier amour, qui a refusé de l’épouser. Au quartier Route de Tanger, à Sidi Kacem, l’après-midi du jeudi 16 du mois courant était très chargé d'émotion.

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Driss Amakhchoum, l’autre histoire de Boulouhouch

Prison centrale de Kénitra Boulouhouch est un mythe marocain. Toute une fantasmagorie autour d’une figure du crime à grande échelle dont LGM a relaté l’histoire complète en 2003. Après plusieurs rencontres avec Mohamed Azzou, dit Boulouhouch, il a fallu parler avec son compère, Driss Amakhchoum, celui qui se dit lui-même aujourd’hui le pilier de la bande qui a terrorisé l’Atlas dans les années 90. Qui est ce personnage qui, lui aussi, purge une condamnation à mort dans le pavillon B de la prison centrale de Kénitra ? Son histoire est la même que celle de son acolyte Azzou, mais qui était le leader, le chef de bande, l’homme fort du gang ? Dix ans après, la vérité sur Amakhchoum et les hommes des montagnes de l’Atlas.

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Les associés du diable

Hafida et Abdelhadi, respectivement l’épouse et l’associé de Samir, viennent d’être arrêtés. Les deux tourtereaux avaient empoisonné Samir dans l’intention de le tuer. L’affaire est entre les mains de la justice.

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Devant160000 spectateurs au stade de Sidi Bernoussi : Bilal fait un tabac à Casa

C'était du délire. De mémoire de Casablancais, jamais un artiste n'a drainé et séduit autant de spectateurs. Jeudi soir, ils étaient plus de 160 000 au stade de Sidi Bernoussi. Ils se sont exaltés, ils ont dansé, ils ont expurgé leur mal de vivre. A l'affiche, Bilal, ce chanteur de Raï qui n'a pas forcément les honneurs des médias ou le soutien des grandes maisons de production, mais qui s'est imposé, grâce à son talent, comme l'idole d'une jeunesse maghrébine frustrée.

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Enquête : Problèmes sexuels, osez demander!

Marocaines, Marocains, vous souffrez en silence dans l’intimité et votre sexualité bat de l’aile. Vous avez du mal à en parler et la h’chouma vous inhibe. Sur la base d’études chiffrées et d’avis d’experts, TelQuel vous invite à mettre des mots sur vos maux et à franchir le pas, pour y remédie

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Erotisme. Avons-nous une culture du plaisir ?

Je considère que le désir du rapport sexuel s’abat sur l’homme pour qu’il atteigne son plaisir et le jauge à l’aune du plaisir, infiniment plus grand, que peut lui procurer l’au-delà. Parce que si le plaisir sexuel devait durer indéfiniment, il serait le plus ardent des plaisirs corporels, comme le feu est le paroxysme des douleurs corporelles.

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