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Ils agressaient les taximen

A Temara et à Skhirate, les multiples agressions qui ont ciblé les chauffeurs de taxis ont coûté la vie à l’un d’entre eux. Les auteurs de ce crime ont finalement été mis hors d’état de nuire après l’arrestation du chef de la bande. Renoncer ? Ce mot n’a plus aucun sens pour Mohamed R., depuis qu’il a quitté ses études primaires. A partir de ce tournant de sa vie, il s’est promis de ne rien se refuser. En tout cas, plus rien de ce qui peut s’acquérir avec de l’argent. Alcool, haschich, femmes, ce jeune homme d’une trentaine d’années court après tous les plaisirs. Ne lui parlez surtout pas d’y renoncer. Après lui, le déluge !

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Une amitié qui finit mal

Derrière les barreaux, Rachid et Mounir étaient inséparables. A leur sortie de prison, ils se sont bagarrés. Le premier est décédé et le second a écopé de 20 ans de réclusion criminelle. «Je n’avais pas l’intention de le tuer ». Une phrase qui ressemble à un vieux refrain tellement ressassé que l’on n’y accorde plus aucune attention. Comme s’il voulait se disculper d’un acte qui taraude tellement sa conscience qu’il n’en dort plus, Mounir répétait mécaniquement cette phrase chaque fois que le président de la chambre criminelle près la cour d’appel de Casablanca lui posait des questions. Récidiviste, il a déjà eu à comparaître devant cette même cour et à peaufiner sa stratégie de défense. Ce qui ne lui a pas porté chance.

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Des testicules contre des espadrilles

Au Chantier Al Massira à Mohammédia, un jeune garçon a castré son voisin à coup de couteau pour une paire d'espadrilles. Le mis en cause a été traduit devant la Cour d’appel de Casablanca. Ni Y. A ni Z. Y n’ont choisi de vivre au “Chantier Al Massira“ à Mohammédia. Quand ils ont ouvert, la première fois sur terre, leurs yeux, ils s'y sont retrouvés. Ils ont vécu au sein de familles comptant plusieurs personnes, entassées dans des baraques de fortune mal meublées, sans eau ni électricité, très chaudes en été et très froides en hiver.

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Grande fusillade à Oued Zem

A Oued Zem, cinq enfants et une femme ont «essuyé» les tirs d'arme à feu, perpétrés par une bande de malfaiteurs «cagoulés». La police poursuit son enquête pour élucider cette affaire. L'enquête dans l'affaire des coups de feu, tirés le soir du mercredi 12 avril 2006, à Oued-Zem, se poursuit, sous le commandement du nouveau préfet de police de la région de Settat, Brahim Oussirou. Les investigations effectuées jusqu'au début de l'après-midi du dimanche 16 avril ne se sont pas soldées par des arrestations, apprend-on d'une source policière de la même ville.

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Mineures et prostituées : La vie perdue des fillettes de Casablanca

Le spectacle d’une fille, âgée d’à peine 15 ans, errant dans les rues de Casablanca à des heures tardives, est familier aux Casablancais. Les fugueuses trouvent leurs repères sur le boulevard Mohammed V qui ne se vide jamais, mais également dans des endroits plus discrets... Qui a été jetée à la porte parce qu’elle est tombée enceinte. Qui est partie, parce que violée par un père ou un frère. Ou encore parce que sa famille a été négligente. Elles ont un seul point commun : leur triste destin.

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Une famille brisée par Le haschich

Une mère perd sa petite famille à cause du haschich. Son mari et l'un de ses enfants sont emprisonnés pour trafic de drogue alors que le benjamin de la famille a été tué par l'un des clients. Gravement blessé, Saïd a été admis au service de réanimation à l’hôpital Hassan II, à Fès. Sa mère, qui attendait dans le hall, sanglotait bruyamment. Elle ne sait plus à quel saint se vouer. Son mari et son enfant aîné sont en prison. Ils purgent une peine d’emprisonnement pour trafic de drogue. Et voilà son benjamin qui se retrouve entre la vie et la mort. Elle ne sait quoi faire. Le désarroi total. Quelques membres de sa famille tentaient vainement de la calmer.

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Un escroc pas comme les autres

Pour arnaquer les naïfs, Zouheïr, un jeune homme âgé de 26 ans, se faisait passer pour un membre du Palais royal. Il a été condamné à 3 ans de prison ferme assortie d’une amende de 500 dirhams. Je suis innocent M. le président. Je n'ai rien fait de mal. Il s'agit d'un coup monté, clame Zouheïr, les larmes aux yeux, dans la salle d'audience de la chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Casablanca. Ce jeune homme de vingt-six ans est accusé d'escroquerie. Son témoignage semble affecter une partie de l'assistance. La salle était ce jour-là archicomble.

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Un homme bat sa mère

Mohamed, un repris de justice, est poursuivi pour tentative d’incendie de la baraque de sa propre mère. Il est également accusé de coups et blessures contre ascendant. Auparavant, il avait battu la pauvre femme quinquagénaire sans vergogne. D'ailleurs, ce n’est pas la première fois que cet homme, père de famille, met le feu dans une baraque à usage d'habitation.

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Marrakech : Une française assassinée

Pour avoir tué à coup de couteau une ressortissante française à Marrakech, deux jeunes chiffonniers ont été condamnés respectivement à la perpétuité et à 10 ans de réclusion criminelle. Chambre criminelle près la Cour d’appel de Marrakech. La salle d’audience est archicomble ce jour du mois de mars. Abdelhak et Aziz, âgés respectivement de vingt-deux et trente et un ans, se tiennent debout au box des accusés. Mal habillés, les deux jeunes hommes semblent avoir regretté leur acte criminel qui allait leur coûter cher....

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Un père tue son fils pour un peu d’argent

Un père de famille est accusé par son enfant cadet d’avoir tué son aîné par des coups de bâton. Il a été condamné à dix ans de réclusion criminelle pour coups et blessures ayant entraîné la mort sans l’intention de la donner. Récit d’un drame familial.

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L’ecstasy, une drogue festive

Drogue festive, l'ecstasy se propage dans le monde de la nuit et chez les jeunes depuis quelques années. Le trafic s'organise dans les boîtes de nuit et dans les lycées grâce à un réseau de dealers bien introduits auprès des milieux branchés.

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Camisole de force pour un assassin

Souffrant de schizophrénie, Mustapha, âgé de 27 ans, vient d’être interné à l’hôpital psychiatrique de Marrakech après avoir tué son ami. La Cour, suivant l’avis des experts, l’a jugé non responsable de ses actes.

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Taxis, sexe, drogues et proxénétisme

Dans les griffes de la nuit Le monde de la nuit est un univers parallèle. La faune nocturne à ses règles, ses codes, ses principes. Certains taxis qui font les rondes des noctambules participent d’une économie souterraine où la drogue, la prostitution, le proxénétisme et l’argent ont droit de cité. D’hôtels en boîtes de nuit, de meublés ringards aux villas cossues des quartiers huppés, les taxis de nuit jouent le relais. On travaille à la semaine pour des clientes triées sur le volet, on fait les commissions, on achète le vin, le haschich et autres lubrifiants de la nuit et au besoin, certains chauffeurs se convertissent en Guerrabs , vendeur d’alcool patenté, dans le taxi même à l’aide de glacières placées dans le coffre. Détrompons-nous, ce type de pratiques n’est pas nouveau, mais date de plusieurs années où certains taximen ont ouvert la voie à des générations de débrouillards de la nuit. Virée dans le monde clos du sexe, de la drogue et du proxénétisme.

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