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Tué pour une cigarette

Pour une cigarette, Abdellatif a poignardé son ami, Saïd. Suite à ce coup, celui-ci est décédé. Cet acte criminel a coûté 20 ans de réclusion criminelle à Abdellatif.

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Il tue son ami pour un joint

Pour un joint de haschich, Saïd a poignardé mortellement son ami qu’il avait rencontré la première fois à la prison. Acte criminel qui lui a coûté quinze ans de réclusion criminelle.

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Ils se sont rencontrés à la prison et ont constitué un duo

À son vingt-sixième printemps, Hafid est devenu un habitué des salles d’audience. S’il avait purgé une première peine d’emprisonnement de trois mois, il y a trois ans, pour vol simple, il est retourné à la prison à trois autres reprises. Pour les deux dernières fois, il a été condamné à un an de prison ferme chacune pour vol avec récidive, coups et violence. La quatrième fois lui a coûté six mois de prison ferme pour consommation de drogue. D’ailleurs, c’est la drogue qui est la cause essentielle de son incarcération, cette cinquième fois. Comment ? D’abord, c’est à la prison que Hafid a consommé, pour la première fois, du haschich. Il ne fumait pas de cigarettes. Son seul vice était les boissons alcoolisées. À la prison, il est arrivé à consommer également des comprimés psychotropes. «Je consommais toutes les drogues susceptibles de me faire oublier ma vie à la prison…», a-t-il affirmé devant la Cour de la chambre criminelle près la cour d’appel de Casablanca. Mais le président de la Cour lui a précisé : «Tu dois m’expliquer si tu étais drogué au moment de ton crime ou non…».

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Arrestation d’une bande de cambrioleurs à Khemis Zmamra

Repris de justice, Abdelouahed, âgé de vingt-sept ans, a constitué une bande de malfaiteurs spécialisés dans le cambriolage des appartements à Khemis Zmamra. Cinq jeunes hommes se sont tenus récemment devant les magistrats de la chambre criminelle près la Cour d’appel d’El Jadida : Abdelouahed, Abdelkrim, Aziz, Redouane et Mohamed. Ils sont tous célibataires et originaires de Khemis Zmamra. A l’exception de Mohamed qui était commerçant, tous les autres étaient au chômage. Abdelouahed, âgé de vingt-sept ans était tôlier avant de se pencher vers la menuiserie. Mais, aucun des deux métiers ne lui rapportait l’argent nécessaire pour satisfaire tous ses besoins. Outre la nourriture et l’ habillement, il devait aussi acheter ses doses quotidiennes en boissons alcoolisées et haschich.

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Une amitié brisée par la drogue

Sous l’effet de la drogue et de l’alcool et en présence d’une jeune fille, le sentiment d’amitié entre Noureddine et Mustapha a cédé la place au sentiment de vengeance. L’un a été tué et l’autre a été châtié. De coutume, les mis en cause nient les charges retenues contre eux lorsqu’ils se tiennent devant la Cour. Noureddine a fait l’exception. Devant les magistrats de la chambre criminelle près la Cour d’appel d’El Jadida, il a reconnu avoir commis son crime. Par regret ? «Oui, je regrette d’avoir tué Mustapha…», a-t-il dit. Étrange ! Il a regretté de l’avoir liquidé alors qu’il souhaitait le tuer avant de passer à l’acte. «C’est la vengeance qui m’a encouragé à commettre ce crime, M. le président…», a-t-il affirmé sur un ton de regret. Qui est-il ? Qui est Mustapha ? Et pourquoi l’a-t-il tué ?

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Agressé, il décide de se venger

Parce qu'il a été agressé par un délinquant de son douar, dans la région d'Agadir, Boufaresse a décidé de se venger. Il a fracassé le crâne de sa victime, a tenté de lui mutiler son sexe et a enfoncé une canne dans son anus.

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Quatre individus violent une femme mariée

Quatre individus ont été arrêtés à Taroudant pour avoir enfermé le mari à l'intérieur des toilettes et violé collectivement son épouse. Ils sont quatre amis. Ils sont nés et ont grandi au même douar, Nouayla, à la province de Taroudant. Si leur aîné est âgé de vingt-six ans, leur benjamin est à son vingtième printemps. Certes, ils ont quitté, tôt, les bancs de l’école, à la phase primaire. Ils étaient des garçons sans problèmes et jouissaient d’une bonne réputation. Effectivement, ils constituaient un quatuor presque inséparable, qui ne fument ni cigarettes, ni haschich et qui ne consomment pas de comprimés psychotropes ni de boissons alcoolisées. Ils se rencontraient pour, entre autres, rigoler, plaisanter et jouer au football en compagnie d’autres garçons du douar. Bref, ils étaient des amis exemplaires. C’était le vendredi 22 février, vers 21 h. Comme à l’accoutumée, les quatre amis étaient ensemble à badiner au douar. Sans profession, ils passaient ensemble la majorité de la nuit et ne retournaient chez eux que vers l’aube pour ne se réveiller que tardivement, vers midi.

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Il tue son frère pour une dose de haschich

Après avoir dérobé le pantalon de son frère et l’avoir vendu pour se procurer de la drogue, Ahmed a fini par commettre un fratricide. Ahmed ne se souvient-il pas de ce qu’il avait commis ou tente-t-il de jouer le naïf pour bénéficier de l’acquittement pour le doute ? Pour les magistrats de la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca, peu importe cette interrogation. Parce qu’ils semblent déjà convaincus qu’Ahmed a bel et bien tué son frère, Brahim.

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Chasse aux trafiquants de drogue à Derb Soltan

L’étau se resserre autour des trafiquants de drogue de Mers Sultan-Al Fida, à Casablanca. Plusieurs d’entre-eux ont dû déserter les quartiers par crainte de se faire prendre. Les trafiquants de stupéfiants, qui approvisionnaient depuis belle lurette les dealers et les toxicomanes de Derb Soltan à Casablanca, ont commencé à déménager depuis quelques semaines vers d’autres quartiers casablancais et à utiliser d’autres moyens pour liquider leurs « marchandises». La raison ? Une guerre a été lancée dernièrement par les limiers de la police judiciaire de Mers Sultan-El Fida contre ces trafiquants de drogue qui ont transformé la région, durant des années, en un point noir où se vendent haschich, comprimés psychotropes, cocaïne, ecstasy, kif et le maâjoune.

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Sexe, drogue et petits crimes entre amis

Sous l’effet de la drogue et de l’alcool, deux amis ont assassiné un jeune homme à Casablanca. Ils ont été condamnés à 20 et 15 ans de réclusion criminelle. Leurs copines purgent deux mois de prison avec sursis. Abdelilah, 28 ans, aimait travailler mais aussi s’adonner à l’alcool, à la drogue et au sexe. Ce jeune, qui demeure à Derb Chabab à Casablanca, n’a jamais imaginé, pourtant, qu’un jour il se retrouverait dans le gouffre d’un crime. Ce fils d’un marchand de légumes et d’une femme au foyer a abandonné l’école pour travailler chez un mécanicien. Il a appris le métier et commencé à économiser un peu d’argent. De ses économies, il s’offrait des cigarettes, des boissons alcoolisées, du haschich, mais aussi des prostituées. Au fil du temps, tous ces ingrédients sont devenus un plaisir dont il était l’esclave.

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Un kidnapping révèle un trafic de drogue dure

Mohamed a été kidnappé par un trafiquant de drogue pour un règlement de compte. Alors que la PJ de Derb Soltan-El Fida cherchait le disparu, elle a découvert un réseau de trafic de drogue. Il était 16h 45, en ce mardi du mois d’octobre, quand une voiture s’est arrêtée à la rue Madrid, préfecture Derb Soltan-El Fida, à Casablanca. Mohamed se tenait au volant. Un quart d’heure plus tard, un autre véhicule se gare près du premier. Quatre jeunes gaillards, armés de matraques, descendent et se dirigent vers Mohamed. Ils le tirent violemment de la voiture et le jettent dans la leur avant de disparaître.

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Tindouf est devenue un centre majeur de trafic de drogue

Le patron de la lutte anti-drogue en Algérie tire la sonnette d'alarme sur la transformation de Tindouf en paradis des trafiquants de drogue. La production et le trafic de haschich sont en train de transférer leurs activités criminelles en Algérie. C'est ce que vient de révéler, jeudi 8 novembre, Kasmi Aïssa, directeur de la coopération internationale de l'Office national algérien de lutte contre la drogue dans un entretien accordé à la deuxième chaîne de la Radio algérienne. Invité de l'émission «Rendez-vous du jeudi», le patron des services anti-drogue du ministère algérien de l'Intérieur a fait preuve d'une transparence peu habituelle dans ce pays. «Durant cette année, 93.000 plants de cannabis et 60.000 d'opium ont été saisis en Algérie, notamment dans les régions frontalières du pays», a-t-il indiqué. Ancien directeur général de la sûreté nationale algérienne, Kasmi Aïssa est l'un des meilleurs spécialistes de la lutte contre le trafic de drogue du sud de la Méditerranée. Ses affirmations ne peuvent donc être considérées à la légère comme de simples constats mais plutôt comme une alerte qu'il adresse aux dirigeants algériens sur l'ampleur que le phénomène est en train de prendre. «Il faut tirer la sonnette d'alarme avant qu'il ne soit trop tard», a-t-il dit avant d'ajouter que : «l'ensemble de la société est interpellé par ce phénomène dévastateur».

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Il tue pour se faire pardonner son péché

L’hôpital Mohammed V d’El Jadida a été, récemment, la scène d’un crime. Un détenu hospitalisé a étouffé un autre. Mobile : la victime l’a empêché de jeûner. Hôpital provincial Mohammed V d’El Jadida. Le pavillon réservé aux détenus malades reprend son calme après que ces derniers ont pris leur dernier repas, avant l’aube de ce jour du mois de Ramadan, le samedi 29 septembre 2007.

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Il écope de 20 ans de prison pour sauver sa sœur

Sous l’effet de comprimés psychotropes, Mostafa, 33 ans, sans profession, a assassiné froidement celui qui a tenté de violer sa sœur en lui assénant 27 coups de couteau. «Je n’ai jamais eu l’intention de le tuer, M. le président ! », déclare Mostafa devant les magistrats de la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca.

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Démantèlement d’un réseau hispano-marocain de trafic de haschich en Europe

Les services de sécurité espagnols viennent de démanteler un important réseau hispano-marocain de trafic de haschich en Europe et ont arrêté 26 membres présumés dudit réseau, dont deux Gardes Civils (Gendarmes), a-t-on indiqué mardi de source officielle. La police et la douane ont saisi lors de cette opération trois tonnes de haschich, trois vedettes rapides dotées de moteurs puissants, six véhicules, près de 50.000 euros, un téléphone satellitaire et un grand nombre de téléphones mobiles, a précisé le ministère espagnol de l'Intérieur dans un communiqué . Les 26 membres présumés du réseau, qui introduisaient de grandes quantités de haschich pour les revendre ensuite en Espagne et dans d'autres pays européens, ont été arrêtés dans les régions de La Manga et Cartagena (sud-est) et Cadix (sud).

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