Accueil > Police marocaine

Police marocaine

Les membres de la cellule Fath Al-Andalus déférés devant le tribunal de Salé

L'enquête menée par la police judiciaire compétente sous la supervision du procureur général sur l'affaire de la cellule terroriste «Fath Al-Andalus» a été bouclée. Le dossier a été remis, mardi, au juge antiterroriste de Salé. Le procureur général du Roi près la Cour d’appel de Rabat a déféré, hier matin, devant le juge antiterroriste de Salé les membres de la cellule dénommée « Fath Al-Andalus ». Les membres de cette structure, présentés dans un premier temps au Parquet par la BNPJ (Brigade nationale de la police judiciaire), sont poursuivis pour « association de malfaiteurs en vue de préparer et de commettre des actes terroristes dans le cadre d’un projet collectif visant à porter atteinte à l’ordre public par le biais de la peur, de la terreur et de la violence ». Les prévenus sont, par ailleurs, poursuivis pour « financement de terrorisme, participation, fabrication et détention d’explosifs, atteinte aux valeurs sacrées et réunions publiques sans autorisation ».

Voir la suite »

Espagne – Maroc : Lutte contre le crime organisé transfrontalier

Les ministres marocain et espagnol de l’Intérieur, Chakib Benmoussa et Alfredo Perez Rubalcaba, annoncent la création de commissariats de police conjoints à Tanger et Algésiras. Le ministre espagnol de l’Intérieur, Alferdo Perez Rubalcaba, vient d’effectuer une visite de travail au Maroc. Durant son bref séjour, il s’est réuni avec son homologue marocain, Chakib Benmoussa, en tête-à-tête d’abord, puis en séance de travail élargie aux principaux responsables de la sécurité des deux pays.

Voir la suite »

Arrestation en Espagne du parlementaire Yahya Yahya

Le gouvernement marocain a demandé des explications à son homologue espagnol suite l’arrestation du parlementaire Yahya Yahya. Le gouvernement marocain a informé par voie diplomatique les autorités espagnoles de sa forte préoccupation suite à l’arrestation de Yahya Yahya, membre de la deuxième Chambre du Parlement marocain, et a demandé des explications. C’est ce qu’annonce un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération rendu public samedi 28 juin. «Il s’agit là d’un acte singulier qui suscite au Maroc légitimes interrogations et fort étonnement compte tenu du statut parlementaire de l’intéressé», précise le communiqué.

Voir la suite »

Affaire Rosamor : Les familles des victimes de l’incendie

Le tribunal de première instance de Casablanca a reporté au 14 mai l’examen de l’affaire de l’incendie de l’usine «Rosamor» à Lissasfa (Casablanca) ayant causé la mort de 55 personnes et plusieurs blessés parmi les salariés. Le 7 mai, à 13h, la salle 8 du tribunal de première instance de Casablanca, était archi-comble. Etaient présents à cette audience, les familles des victimes et des blessés ainsi que leurs avocats, certains rescapés et leurs proche, de l’incendie qui s’était déclaré le samedi 29 avril à l’usine de matelas, Rosamor à Lissasfa. Etaient également présents à cette audience, les proches des accusés, propriétaires de l’usine Rosamor. «Nous remercions Dieu de nous avoir sauvé la vie. Chacun de nous a perdu un parent à lui.

Voir la suite »

Un nouveau rebondissement dans l’affaire du réseau terroriste

L’enquête tend à prouver qu'il s'agit d'un mouvement en continuité avec la Chabiba Islamiya et en filiation direct avec «Al Ikhtiar Al Islami». Révélations. La conférence de presse du ministre de l’Intérieur a révélé quelques données sur la réalité de la cellule terroriste démantelée, en particulier sur les affinités idéologiques de ses membres. Le ministre a cité cinq groupuscules marocains dont « les Moujahidine marocains » créé par Nouâmani en 1984. Il a aussi cité des contacts avec le terrorisme international et Hizbollah. Il n’en fallut pas plus pour que le fantasme sur le chiisme supposé et la filiation à Al Qaïda fassent la Une. En fait, tous les contacts ont été « utilitaires ».

Voir la suite »

Il se faisait passer pour un journaliste

Un escroc, qui se faisait passer pour un journaliste d’une chaîne de télévision, a été condamné par le tribunal de première instance de Taroudant à un an de prison ferme assorti d’une amende de 1000 DH. Nous sommes à Caïdat Tamlakout, province de Taroudant. Les habitants de ce douar n’avaient qu’un seul souci : pouvoir bénéficier de l’électrification. Ils n’ont plus la patience de demeurer dans l’obscurité de la nuit. La lumière des bougies ne pouvait plus consoler l’envie d’avoir des lampes. Une situation qui est devenue insupportable au point où leur vœu s’était transformé en obsession collective qui leur hante l’esprit jour et nuit. Une obsession qui a pris de l’ampleur surtout quand ils ont entendu parler d’un projet d’électrification d’autres douars de la région. Alors pourquoi pas leur douar ? Les habitants ont frappé aux portes des responsables de la région en leur envoyant plusieurs lettres à ce sujet.

Voir la suite »

Un escroc saoudien condamné à six mois de prison

Un ressortissant saoudien a arnaqué le directeur d’une agence de voyages à Agadir en lui faisant croire qu’il lui facilitera l’obtention de «visas de complaisance» au profit des candidats au pèlerinage. Nous sommes à Agadir. Un petit sac suscite des doutes chez le responsable d’une société de transport de messagerie. Le client, un ressortissant saoudien, n’a pas encore achevé de remplir la fiche de renseignements pour l’envoi. Il a prétendu avoir oublié son passeport et qu’il devait retourner chez lui pour le prendre. Il n’a plus donné signe de vie.

Voir la suite »

Heurts entre la police espagnole et des Marocains du quartier la Canada Real

Des heurts ont opposé, jeudi 19 octobre 2007, des habitants du quartier la Canada Real à Madrid aux forces de l’ordre espagnoles venues procéder à la destruction d’habitations construites illégalement. La maison d’une famille marocaine a été détruite durant l’opération visant ce quartier pauvre de la périphérie de Madrid. Les affrontements ont fait 8 blessés dont 6 policiers et 2 Marocains. 9 personnes ont été arrêtées.

Voir la suite »

Elle a deux maris et un amant

Sept personnes, dont une femme accusée d’avoir épousé deux hommes en même temps et son amant, ont été condamnées à des peines allant de 2 mois à quatre ans de prison ferme. Naïma est-elle vraiment mariée à deux hommes en même temps ? C’est la question que l’on se posait, ce jour de septembre, à la salle d’audience à la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Mais, la surprise est encore plus grande quand on apprend que la mise en cause qui se tenait devant le président de la Cour avait, en plus de deux maris, un amant. «Tu es accusée d’avoir falsifié un document dans le but de te marier avec un autre homme alors que tu es encore mariée avec le plaignant», a dit le président de la Cour en s’adressant à Naïma.

Voir la suite »

MADDIE : Trouver à chaque problème un coupable plutôt qu’une solution !

Les médias européens continuent de regarder vers l'Afrique Près de cinq mois après son déclenchement, l'affaire de la disparition de la petite britannique Madeleine McCann reste toujours rangée comme disait Churchill, dans le rayon de la devinette enveloppée dans un mystère à l'intérieur d'une énigme, ce qui, à l'évidence, nourrit les spéculations les plus invraisemblables, et les rumeurs les plus fantaisistes.

Voir la suite »

Il vendait des contrats de travail imaginaires

Un Égyptien, résidant illégalement au Maroc depuis sept ans, a arnaqué plus de 20 chômeurs à Casablanca en leur promettant du travail aux Émirats arabes unis. Première semaine de septembre, Bouznika. Quatre jeunes hommes entrent au commissariat de police. Agés d’une vingtaine d’années, leur point commun est qu’ils sont tous chômeurs. Ils sont venus déposer plainte qu’ils ont déjà rédigées. L’un d’eux frappe à la porte du chef, entre et lui remet la plainte sans dire mot. Le commissaire lit alors la plainte avant de demander aux trois autres jeunes d’entrer au bureau et de s’asseoir.

Voir la suite »

Décès à Paris de l’ancien ministre de l’Intérieur Driss Basri

L’ancien ministre d’Etat à l’Intérieur, Driss Basri, est décédé, hier lundi, à Paris où il vivait depuis sept ans. Driss Basri n’est plus. Le cœur de cet ancien ministre de l’Intérieur a lâché hier, dans un hôpital, à Paris, après une longue maladie. Il est décédé à l’âge de 69 ans, laissant derrière lui un parcours controversé. Né en 1938 à Settat, la ville principale de la plaine de la Chaouia, cet homme a réussi à gravir tous les échelons de la Sûreté nationale pour devenir ministre de l’Intérieur de 1979 à 1999, date à laquelle il a été remercié par SM le Roi Mohammed VI. Nombreux étaient ceux à s’interroger comment un simple commissaire de police, préposé au service du général Dlimi, à l’ombre duquel il a vécu, ait pu gagner l’estime du regretté souverain Hassan II pour occuper, plus de vingt ans durant, le poste de ministre de l’Intérieur, ou de «super ministre», comme s’amusaient à l’appeler ses adversaires. C’est que Driss Basri a su s’imposer en maître incontesté des postes stratégiques du pays, au point d’avoir tenu sous sa poigne, et pour longtemps, deux portefeuilles très sensibles, à savoir l’Intérieur et l’Information. Cette double posture, Basri ne la doit toutefois pas au hasard.

Voir la suite »

Peine d’amende de 20.000 dh contre le directeur d »Al Ousboue Assahafi

Mustapha Alaoui, directeur de l'hebdomadaire 'Al-Ousboue Assahafi, jugé pour diffusion, de mauvaise foi, de fausses nouvelles, de faits non avérés et de faux documents attribués à autrui a été condamné , jeudi par le tribunal de 1ère instance de Rabat, à une amende de 20.000 dirhams. Le directeur de la publication en langue arabe n'a pas été présent lors du prononcé du verdict.

Voir la suite »