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La médisance et les soupçons qui tuent

Ne supportant plus d’être un époux cocu, Mohamed a fini par tuer sa femme sans avoir les preuves tangibles l’accusant d’adultère. Il a été condamné à vingt ans de réclusion criminelle. «Je regrette d’avoir commis ce meurtre, M. le président… Je ne sais pas pourquoi je suis arrivé là… », a balbutié Mohamed tout en essuyant ses larmes. A la salle d’audience de la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca, Mohamed se tenait au box des accusés. Pour la Cour, peu importe ses larmes et son regret. Ce qui est important pour elle n’est autre que de donner la parole au mis en cause, aux membres de la famille de la défunte et aux témoins, ainsi d’écouter les explications du représentant du ministère public et la plaidoirie de la défense et ce, afin de déterminer les circonstances et le mobile de crime qui lui permettra de rendre à César ce qui appartient à César. «M. le président, je n’ai jamais pensé détruire mon foyer…», a-t-il dit à la Cour. Malheureusement, il l’a déjà détruit définitivement sans avoir le moindre espoir de le reconstruire. Comment ?

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La médisance et les soupçons qui tuent

Ne supportant plus d’être un époux cocu, Mohamed a fini par tuer sa femme sans avoir les preuves tangibles l’accusant d’adultère. Il a été condamné à vingt ans de réclusion criminelle. «Je regrette d’avoir commis ce meurtre, M. le président… Je ne sais pas pourquoi je suis arrivé là… », a balbutié Mohamed tout en essuyant ses larmes. A la salle d’audience de la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca, Mohamed se tenait au box des accusés. Pour la Cour, peu importe ses larmes et son regret. Ce qui est important pour elle n’est autre que de donner la parole au mis en cause, aux membres de la famille de la défunte et aux témoins, ainsi d’écouter les explications du représentant du ministère public et la plaidoirie de la défense et ce, afin de déterminer les circonstances et le mobile de crime qui lui permettra de rendre à César ce qui appartient à César. «M. le président, je n’ai jamais pensé détruire mon foyer…», a-t-il dit à la Cour. Malheureusement, il l’a déjà détruit définitivement sans avoir le moindre espoir de le reconstruire. Comment ?

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La médisance et les soupçons qui tuent

Ne supportant plus d’être un époux cocu, Mohamed a fini par tuer sa femme sans avoir les preuves tangibles l’accusant d’adultère. Il a été condamné à vingt ans de réclusion criminelle. «Je regrette d’avoir commis ce meurtre, M. le président… Je ne sais pas pourquoi je suis arrivé là… », a balbutié Mohamed tout en essuyant ses larmes. A la salle d’audience de la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca, Mohamed se tenait au box des accusés. Pour la Cour, peu importe ses larmes et son regret. Ce qui est important pour elle n’est autre que de donner la parole au mis en cause, aux membres de la famille de la défunte et aux témoins, ainsi d’écouter les explications du représentant du ministère public et la plaidoirie de la défense et ce, afin de déterminer les circonstances et le mobile de crime qui lui permettra de rendre à César ce qui appartient à César. «M. le président, je n’ai jamais pensé détruire mon foyer…», a-t-il dit à la Cour. Malheureusement, il l’a déjà détruit définitivement sans avoir le moindre espoir de le reconstruire. Comment ?

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Ne supportant plus d’être un époux cocu, Mohamed a fini par tuer sa femme sans avoir les preuves tangibles l’accusant d’adultère. Il a été condamné à vingt ans de réclusion criminelle. «Je regrette d’avoir commis ce meurtre, M. le président… Je ne sais pas pourquoi je suis arrivé là… », a balbutié Mohamed tout en essuyant ses larmes. A la salle d’audience de la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca, Mohamed se tenait au box des accusés. Pour la Cour, peu importe ses larmes et son regret. Ce qui est important pour elle n’est autre que de donner la parole au mis en cause, aux membres de la famille de la défunte et aux témoins, ainsi d’écouter les explications du représentant du ministère public et la plaidoirie de la défense et ce, afin de déterminer les circonstances et le mobile de crime qui lui permettra de rendre à César ce qui appartient à César. «M. le président, je n’ai jamais pensé détruire mon foyer…», a-t-il dit à la Cour. Malheureusement, il l’a déjà détruit définitivement sans avoir le moindre espoir de le reconstruire. Comment ?

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Un duo spécialisé dans le vol des bijoux en or

Latifa, divorcée, et Othmane, père de famille, ont constitué un duo pour dérober des bijoux en or en s'attaquant à des femmes sans défense. Fatima demeure à Taghazout, province d’Agadir. Cette sexagénaire, mère de six enfants, empruntait son chemin à destination de la mosquée pour accomplir la prière d’Al Asr. À mi-chemin, une voiture s’est arrêtée près elle. Fatima ne s’est pas rendu compte de la voiture et encore moins de la personne qui était à bord. Elle a continué son chemin afin d’arriver à l’heure pour ne pas rater la prière. Seulement, l’automobiliste qui est descendue de sa voiture a suivi Fatima.

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La fin tragique d’une femme comblée

Quand Nadia, mère de quatre enfants, a demandé à son amant de rompre leur relation d'adultère, il l'a tuée. Qu'est-ce qui pousse une mère de quatre enfants à entretenir une relation extraconjugale ? Au douar Ouled Taleb Touiresse, commune rurale Ouled Sbita, Caïdat d'Al Ghnadra, province d'El Jadida, les habitants sont ahuris. Ils savaient tous que Nadia, âgée de vingt-sept ans, s'était mariée très jeune à un homme de quarante ans. Elle avait tout pour être heureuse, un mari respectueux et follement amoureux d'elle, ne l'ayant jamais trompée, déployant d'énormes efforts pour subvenir à ses besoins et satisfaire tous ses désirs. Comment une femme aussi comblée que Nadia pouvait-elle commettre un tel crime vis à vis d'un mari aussi affectueux et aussi généreux?

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Traité d’impuissant sexuel, il tue sa maîtresse

Le père de quatre enfants n’a pas pu retenir sa colère quand sa maîtresse l’a humilié. Il l’a assassinée en l’étranglant. Mohamed travaille à Sidi Bennour et refuse d’y faire venir sa petite famille qui demeure à Youssoufia. Il veut ainsi profiter de sa vie loin de sa femme et de ses quatre enfants. Mais il n’y a pas que cela : le prix du loyer est beaucoup moins cher à Youssoufia qu’à Sidi Bennour. Son choix, il le croyait judicieux, mais en fait, toute sa vie sera détruite. Comment ?

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Elle a semé le bien pour récolter le mal

Naïma voulait rendre ses proches heureux. Au lieu d’une reconnaissance, elle a été froidement assassinée par ceux qu’elle avait sauvés. Naïma était généreuse. Tous ses proches reconnaissaient sa bonté. Cette quinquagénaire, veuve et sans enfants, qui possédait plusieurs hectares de champs agricoles dans la périphérie de Casablanca, n’hésitait pas à aider tous ses proches qui étaient dans le besoin. Dans une vaste villa que lui avait laissée son mari, elle vivait seule, jusqu’au jour où elle a fait venir un certain Brahim. Depuis cinq ans, Brahim vivait en sa compagnie.

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Sa femme le trompe, il l’assassine

Aziza cherchait le bonheur en épousant Abdellah. Il lui a donné un enfant, mais pas la vie qu’elle souhaitait. Chambre criminelle près la Cour d’appel de Fès. Abdellah, 39 ans, se tient au box des accusés pour répondre de l’accusation dont il fait l’objet : homicide volontaire sur la personne de son épouse, doublé de mutilation d’organe. Il ne nie pas son crime, mais tente de se justifier : «Elle me trompait !», répète-t-il devant la Cour sans exprimer le moindre regret. Que s’est-il passé, au juste ? L’affaire remonte à l’année 2001. Abdellah se présente à la famille de Aziza de la tribu Ouled Jamaâ, douar F’chatla, dans la région de Fès pour demander sa main. Aziza, 23 ans, accepte rapidement bien qu’Abdellah est au chômage.

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Par jalousie, il poignarde l’amant de sa maîtresse

Rachid et Badr ont un point commun : ils sont les amants d’une seule femme, une veuve, mère de trois filles. Pour les beaux yeux de leur dulcinée, Rachid n’a pas hésité à éliminer son rival. Chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Poursuivi en état d’arrestation pour coups et blessures ayant entraîné la mort sans l’intention de la donner, Rachid se tient au box des accusés. Malika, elle, est poursuivie, en état de liberté provisoire. Rachid aurait pu être avec sa femme et ses deux enfants s’il n’avait pas connu la belle veuve. Qui est-elle ?

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Il tue sa maîtresse qui lui a transmis une MST

Contaminé par une maladie sexuellement transmissible, Mohamed, 53 ans et père de famille, a tué sa maîtresse, Samira, 31 ans et mère de 4 enfants. Quelle mouche a piqué Samira pour entretenir une relation amoureuse avec un homme de vingt-deux ans plus âgé qu’elle ? Elle était à son vingt-et-unième printemps quand elle s’est rendue compte des regards indiscrets de Mohamed au souk hebdomadaire de Jemaât S’hayem, province de Khouribga. Au début, elle a fait semblant de n'avoir rien remarqué. Elle a repris son chemin à travers les commerces du souk pour s’approvisionner de tout ce dont elle avait besoin. Seulement, elle a remarqué que Mohamed suivait ses pas. Elle s’est précipitée pour quitter le souk. Mohamed l’a rejointe.

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Une idylle finit dans le sang

Après une histoire d’amour qui a duré plus de dix ans, Abdellah a fini par tuer sa femme. Nous sommes à la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Abdellah se tient au box des accusés. Il est poursuivi pour coups et blessures ayant entraîné la mort de sa femme, Jamila. Pourquoi l’a-t-il assassinée ? Quand il était arrivé à son quinzième printemps, il a commencé à découvrir les premiers tourments de l'amour. Une fois qu’il a croisé Jamila, sa voisine du quartier, il a eu le sentiment que son cœur s'arrachait littéralement de sa place. Ses idées étaient perturbées au point qu’il ne pouvait plus se concentrer sur ses études. L’image de Jamila hantait son esprit. Et enfin, il a pris l’initiative de lui adresser la parole. Il lui a avoué son amour qui l’empêchait de dormir. Et c’était le début d’une relation amoureuse débordante et débridée. Au fil du temps, Abdellah a abandonné les études pour gagner sa vie en travaillant dans une usine de confection. Sa bien aimée ne l’a jamais quitté bien que des moments difficiles planaient de temps en temps sur leur relation. Elle ne pensait qu’à lui jour et nuit, qu’à être sous le même toit en sa compagnie, qu’à avoir des enfants et vivre ensemble pour l’éternité.

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L’affaire du meurtre de l’avocat de Meknès et son épouse: Report au 10 Septembre

Le procès des 15 meurtriers présumés de Me Ibrahim Hassitou, avocat au barreau de Meknès et de son épouse Maria Bennani, a été reporté lundi de nouveau au 10 septembre prochain. Selon une source judiciaire, cette décision a été prise par la chambre criminelle près la cour d'appel de Meknès pour permettre, après parachèvement de l'instruction, de joindre le dossier du principal accusé Aziz Akd, extradé récemment par l'Espagne vers le Maroc, à celui des autres prévenus. Conduit récemment par la police pour une reconstitution du crime, le dénommé Aziz Akd, qui avait été arrêté en août 2006 en Espagne et extradé la semaine dernière vers le Maroc, a nié en bloc les faits qui lui sont reprochés et clame son innocence.

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Affaire du meurtre d’un Avocat à Meknes : Incarcération du principal accusé

Le principal accusé dans l'affaire du meurtre de M. Ibrahim Hassitou, avocat au barreau de Meknès et de son épouse Maria Bennani, qui était en cavale en Espagne depuis avril 2006, a été mis mardi sous mandat de dépôt à la prison de Sidi Said, a-t-on appris de source judiciaire. Né en 1970 à Rabat, le dénommé Aziz Akd a été incarcéré à la prison de Sidi Said sur instruction du procureur du Roi près la Cour d'appel de Meknès, a-t-on précisé de même source. Extradé récemment par l'Espagne vers le Maroc, ce Marocain résidant à l'étranger, à l'encontre duquel un avis de recherche international avait été lancé dès le déclenchement de cette affaire, avait été arrêté en août 2006. Son épouse a été aussi arrêtée sous l'accusation de participation au crime et d'adultère.

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Provocations à la veille des élections

Al Adl Wal Ihssane a décidé de fêter le premier anniversaire de ses portes ouvertes. Une nouvelle provocation à travers laquelle la Jamaâ cherche à perturber le climat de sérénité politique qui prévaut à la veille des élections législatives. Al Adl Wal Ihssane a choisi d'organiser une conférence de presse, qui se tiendra jeudi à Rabat, pour fêter le premier anniversaire des portes ouvertes lancées à travers tout le pays il y a un an, jour pour jour. «Nous traiterons toutes les questions qui s'imposent sur la scène politique et nous ferons le point sur la campagne menée contre Al Adl Wal Ihssane depuis un an», affirme Hassan Bennajeh, l'un des responsables de la Jamaâ affecté au bureau du porte-parole. «C'est aussi l'occasion pour nous de faire quelques annonces surprises, y compris au sujet des prochaines élections», ajoute M. Bennajeh sans donner plus de détails.

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L’adultère leur a coûté la vie

Deux quinquagénaires, pères de familles, qui passaient une nuit avec quatre jeunes filles, de 17 à 21 ans, ont trouvé la mort suite à une fuite de gaz. Nous sommes à la préfecture de police de Casablanca. Le téléphone sonne dans la salle de trafic. Au bout du fil, une femme demande à garder l’anonymat avant de faire des déclarations. Elle garde le silence, un moment, comme si elle avait, tout d’un coup perdu sa langue. Pourquoi a-t-elle téléphoné?

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Tué par sa femme et sa belle famille

Fatima rêvait de partir en France avec son mari. Seulement, ce dernier est rentré définitivement au Maroc après l’expiration de son contrat de travail. Un choc qui a poussé Fatima à assassiner son mari. C’était lors d’un mariage au quartier Tahajawite, à Mrirt dans la province de Khénifra, quand Fatima et Driss se sont rencontrés pour la première fois. A-t-elle oublié cette nuit ? Non, sans aucun doute. Driss non plus, du moins avant qu’il ne pousse son soupir. Cela remonte à plus de quatre ans.

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