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Maroc

Cinq ans de prison pour un pédophile

Un agent de service à la municipalité d’Ouarzazate, chargé du sport au complexe sportif et culturel, a été condamné à 5 ans de réclusion criminelle par la Cour d’appel de la même ville. Motif retenu ? Pédophilie. Nous sommes le jeudi 4 mai. La salle d’audience de la chambre criminelle, premier degré, près la Cour d’appel d’Ouarzazate est archicomble. Au box des accusés, se tient Abdellah B, un homme de grande taille, âgé de cinquante-trois ans, divorcé et sans enfants. Dans cette ville, considérée comme la « Porte du désert», tout le monde le connaît, notamment les enfants et les adolescents sportifs.

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Agressée, violée et rejetée

Sous la menace d’un couteau, Laïla, une jeune fille casablancaise, a été violée par deux délinquants, des repris de justice. La Cour d’appel de Casablanca les a condamnés à quatre ans de prison ferme. Le viol est incontestablement l'un des plus monstrueux crimes contre l'être humain. Laïla a lu des dizaines d'histoires dramatiques de viol dans les colonnes des journaux. Toutefois, elle n’a jamais pensé être un jour l'une des victimes. Agressée et violée sous la menace du couteau, par deux jeunes délinquants, la jeune fille n'est pas encore prête à oublier son expérience douloureuse.

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Un fratricide horrible à Fès

Pour lui avoir coupé l’électricité, Abderrahmane a tué son frère. La Cour d'appel de Fès l'a condamné à 30 ans de réclusion criminelle. Chambre criminelle près la Cour d’appel de Fès. Quand Abderrahmane fut amené devant le juge, il n’a pas pu retenir ses larmes. Ses regards se croisèrent avec ceux de sa femme accompagnée de ses trois enfants.

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Les FAR, un bouclier de la nation

En temps de guerre comme en temps de paix, les Forces Armées Royales (FAR), de par les multiples sacrifices qu'elles consentent et les actions louables qu'elles entreprennent au service de la patrie ont gravé leur nom dans la mémoire du peuple marocain, qui célèbre cette année, en toute fierté...

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Mieux contrôler les dépenses publiques

Le contrôle de la dépense publique subira, dans les quelques années à venir, une mutation profonde avec une responsabilisation poussée des ordonnateurs qui se verront confier le contrôle a priori de régularité des dépenses et une convergence des métiers du contrôle exercés par les différents intervenants dans ce domaine. Il s'agira notamment de la Trésorerie générale du Royaume et du Contrôle général des engagements de dépenses de l'Etat, dont les services support seront fusionnés et les systèmes d'information intégrés.

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Arnaque au «Samawi» à Salé

Trois jeunes hommes ont été traduits dernièrement devant la justice à Salé pour avoir arnaqué plusieurs victimes, en recourant à la méthode connue communément sous le nom de «Samawi». Fahd, Abdelkbir et Soufian sont de jeunes hommes, âgés de vingt-quatre à trente et un ans. À bord d’une Ford grise, ils roulaient au quartier Arrahma, à Salé. Tout d’un coup, Fahd qui conduisait la voiture s’est arrêté juste devant un jeune piéton qui traînait ses pas sans destination précise.

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Les Forces Armées Royales sur tous les fronts humanitaires

Les FAR fêtent leur cinquantième anniversaire A l'aube de l'indépendance, la création des Forces Armées Royales fut l'une des incarnations du recouvrement de la souveraineté du Maroc. Cinq décennies plus tard, outre la défense de l'intégrité territoriale, cette institution reflète l'attachement du Royaume aux nobles idéaux universels à travers ses différentes missions dans plusieurs régions du monde.

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Elle étouffe son nouveau-né

Malika, la vingtaine, s’est retrouvée du jour au lendemain enceinte suite à une relation extraconjugale. Son amant, lui, s’est volatilisé. Pour mettre fin à son cauchemar, elle a étouffé son nouveau-né et l’a jeté dans une poubelle. Parmi les mis en cause, une belle jeune fille a pris place au banc des accusés. Celles et ceux qui ont assisté à cette audience du mois d’avril à la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca ont remarqué sa beauté. Tout le monde s’est interrogé sur le crime qu’aurait perpétré cette belle créature pour se retrouver, mine de rien, parmi les malfrats et les criminels. Les commentaires allaient bon train. A la salle d’audience, personne ne peut parler à haute voix.

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1er Mai : défilés traditionnels et revendications habituelles

Dans le Royaume comme dans le monde entier Les travailleurs ont défilé dans les rues de Casablanca. La procession du 1er Mai s'est faite sous les sons des fanfares, mais sans oublier les traditionnelles banderoles et les slogans revendicatifs. Cette année, ils réclament en particulier l'augmentation des salaires. La participation est moins massive qu'en 2005. Apparemment, les syndicalistes n'ont pas tous réussi le pari de la mobilisation. Certains d'entre eux ont même fait appel à des troupes folkloriques pour assurer la bonne ambiance et garantir une meilleure animation. Tôt dans la matinée, les travailleuses et les travailleurs représentés à travers leurs fédérations sectorielles se sont donnés rendez-vous aux sièges de leurs syndicats, avant de défiler séparément, sous un soleil battant.

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La journée Immigration&mémoire

« La France est un pays d’immigration, reconnue pour la diversité de sa population et pour les liens harmonieux qui se sont tissé au long de l’histoire entre les personnes de toute Origine. Cette population a su apporter l’énergie, la créativité et une diversité culturelle. La transmission intergénérationnelle de la mémoire de cette immigration s’inscrit dans le débat face aux injonctions actuelles »

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Violée sous le regard des badauds

Sous la menace d’un couteau, Hayat a été violée durant six heures par Mohamed, un repris de justice, sous le regard passif des badauds à Azemmour. Personne n'a bougé le petit doigt pour la sauver. Il était minuit ce jour du mois d’avril. Souâd, qui était sortie de chez elle à Azemmour, vers 18 h, pour faire des courses n’est pas encore rentrée. De coutume, cette femme divorcée et sans enfants, rentrait tôt à la maison, où demeurent également sa mère et sa sœur unique Hind, pour couper court aux mauvaises langues.

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Un père de famille égorge sa femme

Inconcevable et horrible crime que celui commis dans un douar non loin d’Ouled Frej, province d’El Jadida. Un père de six enfants a tué sa femme sans raison valable avant de tenter de se suicider. Il était midi, ce jour printanier, quand quelques habitants d'un douar, qui se trouve près d’Ouled Frej, province d’El Jadida, ont remarqué qu'Abdellah courait à toute allure vers son petit champ. C’est la première fois qu’ils ont aperçu ce jeune homme, la quarantaine, dans un pareil état. Transpirant à grosses gouttes, il continuait à courir sans regarder ni à gauche ni à droite.

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Adoption du projet de loi portant code du médicament et de la pharmacie

La Chambre des Conseillers a adopté mercredi à la majorité le projet de loi N 17. 04 portant Code du médicament et de la pharmacie qui a été adopté le 17 janvier dernier par la Chambre des Représentants. Présentant ce projet, adopté par 28 voix pour et l'abstention de quatre autres, le ministre de la santé, Mohamed Cheikh Biadillah a affirmé que la législation en vigueur dans le domaine de la pharmacie, qui date de 1960, a constitué un important outil juridique qui a contribué à édifier l'industrie de la pharmacie et à dispenser les médicaments à travers l'ensemble du territoire national.

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Il tue son ami pour un regard

A Casablanca, Abdelkrim a tué son meilleur ami, Saïd, pour avoir osé regarder sa sœur. La Cour d'appel l'a condamné à dix ans de réclusion criminelle. Abdelkrim n’en revient pas. Il n'arrive pas encore à croire qu'il a pu tuer son ami intime, Saïd. Lors de sa comparution, en ce jour du mois d’avril pour la seconde fois, devant les magistrats de la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca, il a affirmée, en sanglotant : «Je ne voulais pas le tuer, M. le président. Saïd était mon meilleur ami…». Abdelkrim n'arrive pas à retenir ses larmes. Il a avoué avoir donné un coup de poing au visage de son ami.

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S.M. le Roi Mohammed VI offre un dîner officiel en l’honneur du Président chinoi

S.M. le Roi Mohammed VI, accompagné de S.A.R. le Prince Moulay Rachid et de S.A.R. la Princesse Lalla Salma, a offert, lundi au Palais Royal de Rabat, un dîner officiel en l'honneur du Président de la République populaire de Chine, M. Hu Jintao et de son épouse, Mme Liu Yongqing, en visite officielle au Maroc. A leur arrivée, le Président chinois et son épouse ont passé en revue un détachement de la Garde Royale qui rendait les honneurs, avant d'être accueillis par le Souverain.

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Le Maroc envisage le nucléaire pour la production d’électricité

Le Maroc veut se doter d'installations nucléaires pour diversifier ses sources d'approvisionnement et répondre à la croissance de sa demande d'énergie, a déclaré hier à Casablanca le directeur général de l'Office national de l'électricité (ONE), Younès Maamar. «L'option nucléaire est inscrite aujourd'hui dans notre programme d'investissement. La décision est prise, mais la genèse des projets nucléaires est très longue», a indiqué M. Maamar à des journalistes, sans donner de calendrier précis.

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Samira, prostituée et récidiviste

Rejetée par sa famille, Samira, âgée de 21 ans, devient une prostituée professionnelle. Elle a été traduite récemment devant le tribunal de première instance de Casablanca. Il s'agit de sa troisième comparution devant la justice. Samira est une jeune femme qui a des antécédents judiciaires. Ce n’est pas la première fois qu’elle comparait devant la chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Casablanca. Ce jour du mois d'avril, elle est accusée de vol, d'ivresse et de prostitution.

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Entretiens entre S.M. le Roi Mohammed VI et le Président Hu Jintao

S.M. le Roi Mohammed VI, a eu lundi au Cabinet Royal à Rabat, des entretiens en tête-à-tête avec le Président de la République populaire de Chine, Hu Jintao, actuellement en visite officielle au Maroc. Par la suite, le Souverain et le Président chinois ont eu des entretiens élargis, en présence du ministre délégué aux Affaires étrangères et à la Coopération, Taïb Fassi Fihri, du ministre chinois des Affaires étrangères, Li Zhaoxing, du ministre chargé de la Commission nationale pour le développement et la réforme, Ma Kai, du ministre du Commerce, Bo Xilai, et du directeur général du bureau central d'études politiques, Wang Huning.

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