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Prison

Le désir qui mène à la prison

Parce qu’il désirait la maîtresse de son ami, alors qu’il était sous l’effet de l’alcool, Samir s’est retrouvé au box des accusés pour meurtre. Nous sommes à la chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. Samir est au banc des accusés. Ce dernier, accusé pour coups et blessures ayant entraîné la mort sans l’intention de la donner, a expliqué à la Cour être en légitime défense. Pourquoi a-t-il commis un crime ?

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Ils se sont rencontrés à la prison et ont constitué un duo

À son vingt-sixième printemps, Hafid est devenu un habitué des salles d’audience. S’il avait purgé une première peine d’emprisonnement de trois mois, il y a trois ans, pour vol simple, il est retourné à la prison à trois autres reprises. Pour les deux dernières fois, il a été condamné à un an de prison ferme chacune pour vol avec récidive, coups et violence. La quatrième fois lui a coûté six mois de prison ferme pour consommation de drogue. D’ailleurs, c’est la drogue qui est la cause essentielle de son incarcération, cette cinquième fois. Comment ? D’abord, c’est à la prison que Hafid a consommé, pour la première fois, du haschich. Il ne fumait pas de cigarettes. Son seul vice était les boissons alcoolisées. À la prison, il est arrivé à consommer également des comprimés psychotropes. «Je consommais toutes les drogues susceptibles de me faire oublier ma vie à la prison…», a-t-il affirmé devant la Cour de la chambre criminelle près la cour d’appel de Casablanca. Mais le président de la Cour lui a précisé : «Tu dois m’expliquer si tu étais drogué au moment de ton crime ou non…».

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L’effondrement d’un immeuble à kénitra : peines de 1 à 3 ans de prison

Le Tribunal de première instance de Kénitra a condamné, lundi soir, de 1 à 3 ans de prison ferme les huit personnes impliquées dans l'affaire de l'effondrement d'un immeuble en construction au quartier Oulad Wajih de la même ville. Les huit personnes, dont trois comparaissaient en état de liberté provisoire, étaient poursuivies pour homicide involontaire, blessures involontaires et non-respect des règles d'urbanisme et de construction. Les dénommés Fayçal Wadii Senhaji, promoteur immobilier, Said Hajib, chef d'un bureau d'études, et Abdelkader El-Maâiti, chef de chantier, ont été condamnés respectivement à trois, deux ans et une année et demie d'emprisonnement assortis d'une amende de mille DH chacun.

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Abdelhadi Eddahbi et ses co-évadés de la prison de Kénitra

Abdelhadi Eddahbi et ses co-évadés de la prison de Kénitra tenteraient de rejoindre le GSPC algérien Les services de sécurité mènent une course effrenée contre la montre pour arrêter Abdelhadi Eddehbi, le «stratège» de l’évasion spectaculaire de la prison de Kénitra, qui aurait orchestré cette opération en vue de règlement de comptes inavoués.

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Licenciée en chimie, elle finit en prison

Après une licence en chimie, Naïma a rejoint la Place Jemaâ El Fna à Marrakech pour tatouer de henné les mains des touristes. Elle finira en prison. «Je n’ai jamais pensé que mon acte était illégal, M. le juge…», a affirmé Naïma qui ne savait pas également que «nul n’est censé ignorer la loi». Aux côtés de Mostafa, Naïma se tient, au box des accusés à la salle d’audience de la Chambre correctionnelle près le Tribunal de première instance de Marrakech.

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Evasion de 9 détenus de la prison centrale de Kénitra

Neuf détenus condamnés dans des affaires liées aux événements de 2003 se sont évadés de la prison centrale de Kénitra, indique un communiqué du ministère de la Justice. L'évasion a été constatée lundi matin par l'Administration pénitentiaire, précise le communiqué, ajoutant que toutes les dispositions ont été prises pour retrouver les prisonniers évadés et déterminer les responsabilités.

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De l’amour à la prison

Tombée enceinte suite à une relation extraconjugale, Souad s’est fait avorter alors qu’elle était à son septième mois de grossesse. Nous sommes à la chambre criminelle près la Cour d’appel de Salé. La salle d’audience était archicomble en ce jour de mars dernier. Au box des accusés, se tenaient une fille de dix-sept ans et un jeune homme de vingt-quatre ans. Elle s’appelle Souad et il se prénomme Ahmed. Elle est poursuivie d’infanticide et de débauche. Elle le fixait de temps en temps, mais lui, faisait semblant ne l’avoir jamais vue ou rencontrée. «Je couchais avec lui…Il est le père de mon enfant…», insistait-elle devant la cour. Au contraire, répliquait-il sur un ton ferme : «Non, M. le président, je ne l’ai jamais rencontré et je n’avais jamais eu de relation avec elle…».Qui a raison et qui a tort ?

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Trois ans de prison pour avoir détourné la fille de son employeur

Âgé de dix-huit ans, Mohamed a détourné la fille de son employeur, pour coucher avec elle. La jeune fille, encore mineure, a fini par tomber enceinte. «Je ne l’ai pas obligée à coucher avec moi... M. le président», a affirmé Mohamed sur un ton hésitant devant le président de la Chambre criminelle près la Cour d’appel de Khouribga. Durant toutes les deux heures de l’examen de son affaire, il n’a pas essayé de tourner sa tête pour savoir si ses parents et son unique frère étaient dans la salle d’audience. Il n’a même pas osé fixer ses regards sur le président de la Cour qui l’interrogeait. Par pudeur ? Certes. Mais il les a fixés sur le représentant du ministère public lorsqu’il a entamé son réquisitoire. Il aurait pensé que ce dernier gardait une rancune contre lui lorsqu’il a requis la peine maximale contre lui. Il ignorait qu’il représente et défend la société, y compris lui-même.

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Hassan El Khattab condamné à 25 ans de prison ferme

La Chambre criminelle chargée des affaires de terrorisme près la Cour d'appel de Salé a condamné, vendredi, à 25 ans de prison ferme Hassan El Khattab, chef de la cellule Ansar El Mahdi, une affaire dans laquelle sont poursuivis 51 prévenus. Hassan El Khattab a été reconnu coupable de constitution d'une bande criminelle dans le but de préparer et commettre des actes terroristes visant à porter atteinte grave à l'ordre public, collecte et gestion de fonds pour financer des actes terroristes, appartenance à une association non autorisée et réunions publiques sans autorisation.

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Un escroc saoudien condamné à six mois de prison

Un ressortissant saoudien a arnaqué le directeur d’une agence de voyages à Agadir en lui faisant croire qu’il lui facilitera l’obtention de «visas de complaisance» au profit des candidats au pèlerinage. Nous sommes à Agadir. Un petit sac suscite des doutes chez le responsable d’une société de transport de messagerie. Le client, un ressortissant saoudien, n’a pas encore achevé de remplir la fiche de renseignements pour l’envoi. Il a prétendu avoir oublié son passeport et qu’il devait retourner chez lui pour le prendre. Il n’a plus donné signe de vie.

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Un faux fkih condamné à trois ans de prison

Après avoir raté sa vie, il a recouru au charlatanisme et à l’escroquerie. Plusieurs victimes se sont fait prendre dans ses filets. C’est à Khouribga où Abdellah, quarante ans, est né, a grandi et vécu. Sa vie n’a jamais été stable et personne n’en comprenait la raison. Quand il a rejoint les bancs de l’école, il n’y est resté que deux ans. Il n’a pas pu dépasser le deuxième niveau du primaire. Lorsqu’il arrivait à se faire embaucher dans une société, il n’y passait pas plus d’un ou deux ans pour la quitter ensuite. Pourtant, il n’a jamais été licencié. Quand il s’est marié, il a répudié sa femme quelques mois plus tard. Comme par fatalité, il a choisi de vivre sa solitude dans une chambre au quartier populaire de la ville de Khouribga et se débrouiller pour gagner sa vie.

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Des chercheurs de trésor se retrouvent en prison

Trois jeunes hommes, qui rêvaient de devenir riches, sont allés à la recherche d’un trésor dans un douar de la région de Taroudant. Leur quête leur a coûté deux ans de prison ferme. Abdellah entend parler d’un trésor dans ce douar de Taroudant, depuis qu’il y est né en 1974. Il a aussi entendu parler d’hommes qui sont devenus riches après avoir trouvé des trésors enfouis sous terre. Un mythe ou une réalité ? Peu importe. Ce qui est sûr, c’est que Abdellah veut lui aussi devenir riche grâce à ce trésor invisible. L’idée lui hantait l’esprit au fil des jours. C’était le seul moyen, pensait-il, de sortir de la pauvreté qui l’étouffe. Il en a parlé à ses deux amis, Khaled et Lhousseïne. Ils étaient également au courant de ces histoires de découverte de trésors. Tous les trois se sont mis d’accord de passer à l’action. Un rendez-vous a été fixé pour l’exhumation des trésors, une opération qui s’effectue toujours durant la nuit et se termine à l’aube.

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Il écope de six ans de prison pour viol

Saïd a avoué avoir tabassé et violé une jeune femme sous l’effet de la drogue. Il a été condamné par la Cour d’appel de Casablanca à six ans de prison. Chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca. En ce jour de novembre, Saïd, est au banc des accusés parmi quatre autres mis en cause. Vêtu d’un blue-jean et d’un tricot en coton gris, ce jeune de 32 ans, jette de temps en temps un coup d’œil à l’assistance.

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