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La question que se posent les observateurs sera de savoir quel sera le comportement que va adopter l’Algérie et si ce pays va persévérer dans son hostilité contre les intérêts du Maroc et en particulier contre son initiative d’autonomie ou bien va-t-il changer de position et rechercher une voie de facilitation, a souligné Boukantar, professeur à l’Université Mohammed V de Rabat.
Ce troisième round est, selon lui, le prolongement des deux précédents qui ont permis aux parties de présenter leurs points de vues sur ce dossier, notamment le Maroc qui est l’initiateur du processus de négociations grâce à son initiative d’autonomie, qui a reçu un accueil favorable de la part des grandes puissances et du conseil de sécurité.
Pour lui, les adversaires du Maroc semblent camper sur leur position et se réfugient dans la provocation, comme c’était le cas lors de l’organisation du congrès de Tifariti, localité marocaine, en violation du cessez-le-feu.
MAP
